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Jelda جِلْدَة

JELDA signifie "peau" en dialecte tunisien. La peau comme une frontière vivante entre l’individu et le collectif, un territoire où émergent des chemins secrets.Dans cette création en cours,  les interprètes sont dans une exploration profonde du corps humain comme lieu de mémoire, de lutte et d’identité. À travers la danse et le théâtre physique, j’explore le concept complexe du "corps-territoire", soulignant comment nos corps façonnent et reflètent à la fois notre existence personnelle et collective.

MALOU RÉDARÈS - Chorégraphe 

AYMEN TRABELSI - Interprète

CEDRIC MBOUROU - Interprète

YASSINE KHARRAT - Interprète

FATMA BALTI - Interprète &

Scénographe

GHAZI FRINI  - Artiste Visuel

 

Le corps est bien plus qu’un simple vaisseau physique. C’est une carte vivante, révélant nos expériences et les influences de notre environnement socioculturel. Chaque mouvement, chaque geste raconte une histoire de résistance et de résilience, gravée dans notre héritage génétique et transmise de génération en génération.

 

Nous souhaitons ouvrir un dialogue sur l’identité, en mettant l'accent sur l'identité Africaine, façonnée par des histoires politiques complexes. L'exploration révèle les dynamiques liées au genre, à la race, aux impositions coloniales et à la quête de liberté.  Sur scène, les interprètes utilisent leurs corps comme des instruments de lutte et de transformation, incarnant puissance et égalité. 

En utilisant la métaphore de la voiture comme territoire partagé et des murs mobiles comme espace inconnu, les danseurs explorent la tension entre le familier et l’étranger, jouant avec les limites de l’individualité et du collectif. Dans une dynamique à la fois intime et provocante, la pièce questionne l’appartenance, la migration et les frontières — qu’elles soient physiques ou mentales — que chacun de nous tente de franchir.

 

Les premières recherches chorégraphiques débutent en 2024 grâce au soutien de la Fondation Kamel Lazaar et à l’accompagnement du programme “MASSARI” mené par AL BADIL, sous la direction de Selim Ben Safia.

DUNE FRAGMENT TUNISIEN

LYDIE BOISTON - Chorégraphe 

MALOU RÉDARÈS - Chorégraphe ​

AMEL LAAOUINI - Interprète

HELA AYED - Interprète

YASMINE DIMASSI - Interprète

MOUNA BEN HAJ ZEKRI- - Interprète

FATMA BALTI - Interprète

MONA FAZAA MILOT - Interprète

MARAHEM KHADHRA - Interprète

CYRINE BORZLI - Interprète

AMINA BDIRI - Interprète

EMNA HAJ AMOR- Interprète

WEJDEN BELGHUIT - Interprète

SALSABIL SOUISSI - Interprète

AICHA BEN AMARA - Interprète

NORA GHARYENI - Interprète

La compagnie Volcà, en partenariat avec le théâtre El Hamra et soutenue par l'Institut français, a réalisé un projet intitulé "Dune - Fragment tunisien" qui met en valeur les femmes et leur représentation actuelle. Ce projet a impliqué la participation de 14 femmes tunisiennes, qu'elles soient amatrices, semi-professionnelles ou professionnelles, et s'est déroulé sur une période de
deux ans.

 



 

La pièce résultante est une création chorégraphique d'une durée de 45 minutes, basée sur un duo contemporain préexistant appelé "Dune". Cependant, l'objectif n'était pas simplement de transposer ce duo en Tunisie, mais de l'utiliser comme point de départ pour créer une nouvelle version de la pièce. Celle-ci a été entièrement repensée : les femmes ont été intégrées dans la chorégraphie, la gestuelle a été revisitée à la lumière des  influences du territoire et le discours de la pièce a été enrichi par les échanges avec les femmes rencontrées sur place.

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L'idée est de partager "Dune" au-delà de leur propre discours, de le transmettre et de l'améliorer tout en continuant leur recherche artistique. Avec ce "Fragment de Dune" en Tunisie, le projet a établi un pont et créé une rencontre entre les femmes tunisiennes et françaises.

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LA VOLTE

LYDIE BOISTON - Chorégraphe &  Interprète

MALOU RÉDARÈS - Chorégraphe &  Interprète

MATEO DESCHAMP - Interprète

CHARLES GAMBONNET- Interprète

FABIEN AINARDI - Compositeur

MAUREEN BAIN - Scénographe/lumière

 

La pièce chorégraphique LA VOLTE est inspirée de l’ensemble de l'oeuvre d’Alain Damasio.

Nous sommes ici dans un monde dystopique où la société est organisée de sorte qu’il est impossible d’échapper à sa doctrine. Les dirigeants peuvent y exercer une autorité totale et sans limites sur les citoyens qui n’ont plus tout leur libre arbitre.

Quelques individus vont réussir à réveiller leurs consciences pour constituer "La Volte", une meute humaine cherchant à tout prix à garder espoir en leur propre humanité. Ils se débattent alors ensemble pour trouver une sortie à cette matrice.

La Volte représente ici la jeunesse d'aujourd'hui souhaitant reconquérir l’imaginaire du futur, réinvestir un faisceau de manières de vivre. A travers feu et flammes, douceur et prospective, ils retrouveront dans les cendres d’une révolte l'essence même du vivant.

LA VOLTE est une nouvelle création 2020 de la compagnie Volcà. Elle s'inspire grandement de l'œuvre d'Alain Damasio, notamment des dystopies dans lesquelles il place ses personnages.

 

L’univers proposé par l'auteur est criblé d’idées, de concepts qui nous tiennent à cœur. Surconsommation, surveillance omniprésente, traçage des données, formes de répression de plus en plus violentes à l'encontre de la population, autant de raisons pour nous de faire raisonner la question de liberté et d’humanité de notre société.

 

D’un point de vue sociologique, ces problématiques nous paraissent déjà d’actualité, et nous voulons donc de les questionner. Nous nous / vous demandons quelles sont les alternatives face à ce système ? Quel est notre champ d'action ? Comment retrouver notre libre arbitre ? Il s'agit de bousculer, d'entraver et de réveiller les consciences car pour nous, les dystopies d'Alain Damasio ne sont pas un futur si lointain.

Nous prônons la libération des esprits et des corps dans la solidarité et l'humanité, comme un combat contre l'individualisme qui nous semble être bien trop présent aujourd'hui. Notre idée c’est de dire que nous pouvons agir et que nous le devons car ce ne sont pas les raisons qui font les révolutions, ce sont les corps.

 

Finalement, nous essayons, dans cette pièce, de témoigner de ce qui nous semble être des enjeux de l’humanité au XXIème siècle, en tant qu’individus appartenant à une société, à une espèce et partie du vivant. Nous parlons d’une jeunesse cherchant réponses et repères, une jeunesse qui veut agir, se battre et résister, ne pas plier.

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DUNE 

LYDIE BOISTON - Chorégraphe & Interprète

MALOU RÉDARÈS -  Chorégraphe & Interprète

FABIEN AINARDI - Compositeur

MAUREEN BAIN - Scénographie/lumière

Dune est un duo de danse contemporaine /floorwork qui invite à une réflexion profonde et à une célébration de la diversité et de la force des femmes.

La pièce explore la manière dont le patriarcat érige des hiérarchies dans les relations, et la transmission de cesschémas, parfois inconsciente, même entre femmes. Cette transmission se fait à travers l'éducation, les relations mère- fille, les relations avec les amies, les collègues, et les modèles féminins mis en avant par la société. La socialisation, qui représente l'ensemble des normes sociales intégrées consciemment ou non par un individu, estau cœur de cette dynamique.

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Cette pièce percutante aborde le positionnement des femmes au regard des normes sociales actuelles. Dune explore donc les thèmes complexes des stéréotypes de genre, des droits et des responsabilités des femmes. Les deux danseuses incarnent diverses figures de la féminité etleur relation s'en trouve sans cesse remodelée, entre solidarité et brutalité. La pièce met en lumière la dualité entre la violence et l'amour qu'elles donnent et reçoivent. Dans une quête de sororité, Dune propose une perspective de beauté et de poésie sur ces relations entre femmes. Le costume est l'habit masculin surdimensionné. La chorégraphie haletante, entre tensions et détentes, puissance et chutes, cherche son mouvement dans les entraves de ce costume. C'est une véritable lutte dansée qui s’opère autour de cet accoutrement, symbolisant l’intention de se libérer du patriarcat, des normes établies, et des traditions vieillissantess.
Cette remise en question des normes féminines établies invite à une réflexion approfondie sur les enjeux d’égalité des sexes et des genres dans nos sociétés contemporaines. C'est pourquoi la compagnie propose un bord plateau à la suite de la représentation, afin de prendre un temps d'échange autour du
propos de la pièce.

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155BPM

LYDIE BOISTON - Chorégraphe

MALOU RÉDARÈS - Interprète

VICTOR GIGANDON - Interprète

GABRIEL BOURDAT - Interprète

CLARA CABECAS SEGURA - Interprète

JÉRÉMY FOULIARD - Compositeur

MAUREEN BAIN - Scénographie/lumière

 155 BPM est le récit de la transformation d’un rapport au plaisir.Par plaisir, on entend à la fois le plaisir-satisfaction, effet de la réalisation d’un désir préalable, et le plaisir-évènement, qui est imprévisible puisque précédé d’aucuns désirs.Ces deux formes de plaisir impliquent un rapport différent à l’ordre du monde. Le premier, plus conservateur, suppose une stabilité. Le second, en revanche, entretient un rapport subversif au réel. En faisant l’expérience d’un dépassement des attentes, d’une déviation, il est une véritable force révolutionnaire.La rave est un espace privilégié de plaisir-évènement. 

Par son lieu, qu’elle détourne en inventant de nouvelles formes de sociabilités. Par sa musique, dont l’histoire est intimement liée aux minorités racisées, de genres ,et de classes. Par son esprit, collectif, et la transe qu’elle propose, en fondant l’individu dans une joie collective.

 

Puisqu’elle est subversive, la rave fait l’objet d’oppressions croissantes de la part du pouvoir politique. De multiples lois en entravent l’organisation, voire même l’interdisent. Elle doit alors se reformer dans un espace privé, assujetti à l’ordre économique et social, redevenant plaisir-satisfaction.


155 BPM est le récit du surgissement imprévu du plaisir-évènement dans la vie de l’être humain, au cours de la rave réadaptée. En racontant cette expérience, de ses premiers pas encore ancrés dans l’ordre du monde


jusqu’au bout de la joie collective, 155 BPM donne à voir la force révolutionnaire et émancipatrice de la rave, contre toutes les formes de dominations économiques et sociales.


155 BPM est une ode à la collectivité et au partage, éminemment festive, nécessairement politique.

COMPAGNIE VOLCÀ - DANSE CONTEMPORAINE & THÉÂTRE PHYSIQUE

 

 

Raison sociale :   VOLCA

Forme juridique : Association loi 1901

Siège social : 8 impasse Dubois 69004 Lyon  

Administration :

        Virginie Florès, présidente : 06 15 58 91 08 

        Axelle Sourisse, chargée de production et de diffusion : 06 21 05 57 76 
 

Artistique :

        Malou Rédarès, chorégraphe : 06 27 91 91 82 

        Lydie Boiston, chorégraphe : 06 83 31 46 18 

 

Siret : 87794853900029

Licence : PLATESV-R-2024-001301

Code NAF ou APE : 9001Z

N° IDCC : 3090 

N°RNA : W691100997

Convention collective nationale des entreprises du secteur privé du spectacle vivant

Journal officiel : 151e année. - N°40 - Samedi 5 octobre 2019

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